mardi 29 mars 2011

les poèmes gagnants par classe du printemps des poètes

QUATRIEME : YONIT TEBOUL

On ne vit qu'une seule vie et pourtant je ne comprends pas pouquoi l'homme continue à admirer les paysages toute en reniant son passé.

TROISIEME : LAURA BERLEMONT

Ma Rose
Tu m'as piqué
Comme au premier jour
Où tu es née,
Rose ma rose

Tu es sortie
Par un beau jour
tu te fais butiner
A chaque jour
Rose ma rose

Tu t'es sacrifiée
Dans le vent qui soufflait
et qui t'as emportée
Rose ma rose

Tu renais
L'imege que tu donnes
Me fait rêver,
Seule ta lumière rouge
Me fait penser au reflet
De cet amour
Rose ma rose,


SECONDE BEPA 2 : OPHELIE MARTIN

Regarder dehors
Par la fenêtre
Et s'évader
S'imaginer marcher
Courir dans les champs
Et respirer

Mourir
Pour mieux renaître
Dans une vie
Une maison
Entourée d'une nature
Magnifique
Et vivre enfin.


SECONDE BEPA 1 : NADIA NAIT AHAROUIT
Le lendemain j'allais à la mer
La chaleur du soleil réchauffait le ciel
Un ciel inconnu recouvrait la terre
Devant moi une magnifique île.
Sur cette île, il y a un long silence
Un silence infini
Une aire immense
C'était l'ouverture du paradis.



TERMINALE BEPA 1 : EMILIE MOLL
Je me souviens de ce payage
Aujourd'hui tout cela n'est plus qu'un simple mirage
Pourtant il ne faut pas abandonner, mais rester éveillé
Oublier les êtres aimés, c'est fuir la réalité
Ne pas perdre espoir, il faut simplement y croire.

TERMINALE BEPA 2 : ALEXIA LAGARDERE

Qu'est devenu ce beau paysage
Détruit par notre passage
J'aimerais encore ressentir cette émotion
J'entends au loin les canons
La guerre est finie
Mais tout est détruit

PREMIERE BAC PRO : CASSANDRA THIERRY

Une fille assise au bord d'une route
Son regard plein de solitude
On pouvait y lire toute une vie
Des enfants jouant,
Des fleurs naissant,
Des hommes riant,
On y voyait des rêves
New-York,
Londres,
Chicago,
Tokyo.

Un dernier souvenir
Une mère et sa fille.

Puis dans un sommeil profond, un sommeil infini.

TERMINALE BAC PRO : CELINE CANTEGREIL et MARION DELRIEU

Putain de Tsunami

Toi qui était là, face à moi
Couverte de ton écume blanchâtre
Entraînant tout sur ton passage

Toi mon océan
Regarde ce que tu as laisé
Une ville dépeuplée

Toi qui embellissait ma vie
Tu es à présent mon ennemi
Tu nous as tous anéantis.





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